Olivier de Magny,
 
                                     
 
                                               Poète trop méconnu
 
 
Né dans une famille bourgeoise de Cahors, Olivier de Magny fait ses premières études dans sa ville natale avant de se rendre à Paris en 1547. Il s'y attire l'attention de Hugues Salel, abbé de Saint-Chéron et poète de la cour de François Ier, qui en fit son secrétaire. Ce premier poste l'amène à fréquenter à son tour la cour, où il rencontre quelques éminents personnages de l'époque.
Son protecteur meurt en 1553. Olivier de Magny s'attache alors à Jean de Saint-Marcel, seigneur d'Avanson, qui l'emmène à Rome en 1555 au cours d'une mission diplomatique auprès du Saint-Siège. C'est pendant ce voyage qu'il rencontre à Lyon Louise Labé, dont il tombera amoureux.
Son séjour en Italie dure trois ans. Il y fait la connaissance de Joachim du Bellay, mais il est peu séduit par la cour italienne. En 1557, il retourne en France où, le 31 mai 1559, il est nommé au poste envié de secrétaire du roi, fonction qu'il exercera jusqu'à sa mort.
Généralement considéré comme un disciple de Ronsard, il a surtout composé des sonnets. Il est également possible qu'il ait eu une relation avec Louise Labé.

 
Roger Couderc


 
 
Roger Couderc est un journaliste sportif français, spécialiste du rugby, né le 12 juillet 1918 à Souillac (Lot) et mort le 25 février 1984 à Bron
Ses commentaires enthousiastes, à la télévision et à la radio, ont grandement contribué à élargir la popularité du rugby en France, notamment au nord de la Loire. Les joueurs de l’équipe de France le surnommaient « le seizième homme du XV de France». Naît à Souillac, où son père, Pierre, exploite l’hôtel de la Gare1. Il est formé au rugby à « La Quercynoise », association sportive du lycée Gambetta de Cahors2.
Son père veut en faire un cuisinier, mais, , Roger préfère, à quinze ans, monter à Paris. Il étudie à l'école nationale supérieure des beaux-arts. À vingt ans, ayant du mal à subvenir à ses besoins, il se tourne vers le journalisme. Il entre à l’agence de presse Fournier en tant que stagiaire.
En 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale, il est mobilisé à Agen, dans le 12e régiment d’artillerie coloniale. Fait prisonnier, il est envoyé en Allemagne, au stalag XIII A.. Blessé au genou dans un bombardement, il est autorisé après trois ans de captivité à rentrer en France.
Redevenu journaliste, il réalise un scoop en étant le premier à interviewer Marcel Ravidat, l'un des découvreurs de la grotte de Lascaux 
En 1943, il rencontre Fernande Gilard, dite « Noune », une jeune fille de Mauvezin, dans le Gers. Il l'épouse en 1944. Le couple a deux enfants, Christine (née en 1944) et Laurent (né en 1946) ;
Il joue trois-quarts aile à la Renaissance Sportive Mauvezinoise. Il avoue : « J'étais de l'espèce la plus répandue, la plus méritante aussi, celle des tocards persévérants. »
Il se joint au maquis du Gers. En 1944, il collabore à Libre (organe des prisonniers de guerre et déportés), que dirige François Mitterrand ; puis au Courrier de la Nièvre, à La Dépêche du Midi, au Midi olympique et à L'Auto-Journal. Il est ensuite journaliste radiophonique à Radio Luxembourg et à Europe no 1. Il s’y spécialise dans le rugby et le sport automobile.
IL entre comme journaliste de radio à la RTF, au début des années 50. Il continue dans le reportage sportif, "couvrant" le rugby à XIII, à l'époque très en vogue, ainsi que les courses d’automobiles. Puis il passe à la télévision en 1958-59 où il commente "les deux rugby", le catch, le tennis et il anime le jeu télévisé « La Tête et les Jambes ». À partir de 1961, il participe, aux côtés de Thierry Roland et Robert Chapatte, à l'émission sportive Les Coulisses de l'exploit. Il fait partie de l'équipe de « Sports Dimanche ». En 1962, il fait aussi partie de l'équipe d'animateurs du jeu télévisé « Intervilles », tout en devenant le spécialiste incontesté du rugby à XV, faisant connaître le tournoi des Cinq nations jusqu'au nord de la Loire. À partir de 1963, il anime « Le Temps des loisirs ». En 1965, il écrit un roman policier, Le Nez de Siméon.
Le dernier match international qu'il commente est France-pays de Galles, le 19 mars 1983.

 
Roger Couderc prend sa retraite après la finale Béziers-Nice du Championnat de France, le 28 mai 1983 ;
Il meurt, le 25 février 1984, à l'hôpital Pierre-Wertheimer de Bron ;Il repose à Mauvezin, selon sa volonté, « la tête près du clocher, pour entendre s'égrener les heures de la vie des autres, et les pieds tournés vers les poteaux de rugby du stade tout proche afin de ne pas rater une transformation ».

 

 
Marc PETIT



 
          Marc Petit est un sculpteur et dessinateur français né le 27 juin 1961 à Saint-Céré
C’est à Cahors, où il passe son enfance, que Marc Petit réalise ses premières sculptures dès l’âge de 14 ans. Il y côtoie deux sculpteurs, anciens élèves des Beaux-Arts de Paris,René Fournier et Jean Lorquin.
          À 24 ans, Marc Petit présente sa première exposition personnelle à Villeneuve-sur-Lot.
Son travail est régulièrement présenté en France et en  Europe.
En 2013, le musée Henri Martin de Cahors présente une exposition de ses œuvres.
Marc Petit est installé depuis  les années 1980 près de  Limoges, en Haute-Vienne.
 
 
L’Ange du Lazaret, une de ses sculptures sur la place Clément Marot, face au portail nord de la cathédrale

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fin


 
 
 

 
 
 



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